Month: mars 2016

Jamais abandonné

L'auteur russe Fiodor Dostoïevski a dit : « Il est possible de juger du degré de civilisation d’une société en en visitant les prisons. » C’est d’ailleurs avec cette citation présente à l’esprit que j’ai lu un article publié sur Internet intitulé « The Top 8 Deadliest Prisons in the World » (Les 8 prisons les plus meurtrières au monde). Dans l’une d’elles, les détenus sont même tous gardés en isolement cellulaire.

Être secoué

Une fois, alors que je me trouvais au haut d’une montagne en Norvège, Dieu a choisi de me sauver d’une mort prématurée. À l’époque, j’ai trouvé cela fâcheux. Dieu savait néanmoins que, sur le plan spirituel, j’étais esclave et j’avais besoin d’être sauvé – essentiellement de moi-même. Il savait que j’étais mort spirituellement et que j’avais besoin de comprendre à quel point je me trouvais dans une mauvaise situation. Il m’a alors fait passer par une série d’événements extrêmement inconfortables afin que je puisse réaliser ce dont j’avais vraiment besoin – de lui !

Une nécrologie en trois mots

Avant de mourir, Stig Kernell a fait savoir aux gens du funérarium de la place qu’il ne souhaitait pas avoir de nécrologie traditionnelle. Ce Suédois leur a plutôt donné pour directive de ne publier que trois mots pour souligner son décès : « Je suis mort. » Lorsque M. Kernell est décédé, à l’âge de 92 ans, ce sont précisément ces mots qui ont été publiés. Or, en raison de son audace et de sa simplicité, cette nécrologie inhabituelle a capté l’attention des journaux du monde entier. Par un étrange coup du sort, la curiosité qu’a suscitée cet homme par sa nécrologie en trois mots a fini par attirer sur sa mort davantage d’attention, jusqu’à celle de l’opinion internationale, qu’il ne l’avait voulu.

Ne pas rendre le mal

En 2014, un groupe de terroristes a enlevé 276 jeunes Nigérianes alors qu’elles étaient à l’école. En quelques heures, la nouvelle a envahi les ondes, et l’appel à prendre rapidement les mesures appropriées a atteint son paroxysme.

Le pressoir à olives

En visitant le village de Capernaüm, situé en bordure du lac de Tibériade, on peut voir une exposition de pressoirs à olives antiques. Fait en basalte, le pressoir à olives comporte deux parties : une base et une meule. Sculptée à même sa grande base ronde, la cuve recevait les olives à presser. Puis on roulait la meule, faite elle aussi d’une pierre lourde, sur les olives pour en extraire l’huile.

S’épanouir !

Ma cousine Tracy peut recréer l’ambiance d’un chez-soi n’importe où. J’ai déménagé en Angleterre lorsque j’étais une jeune célibataire. J’y avais vécu durant quelques mois lorsque Tracy est arrivée d’Australie. Bien qu’on m’ait donné quelques meubles pour orner mon petit appartement, je dormais encore dans mon sac de couchage, étendu sur l’un des lits. Or, Tracy n’avait habité chez moi que quelques jours lorsque j’ai découvert, en revenant du travail, qu’elle avait redécoré mon logis : elle avait bien fait les lits, avait déposé une nappe sur la table de la salle à manger et avait rempli un nouveau vase de fleurs fraîchement coupées. Elle avait transformé mon petit espace de vie en un chez-moi douillet, loin de chez moi.

Un chalet rempli d’histoires

Fait de rondins habilement taillés à la main, le chalet d’époque était digne d’une couverture de magazine. Son architecture ne comptait toutefois que pour la moitié de la valeur de ce trésor. À l’intérieur, les murs étaient ornés d’objets du patrimoine familial imprégnant les lieux de souvenirs. Sur la table reposaient un panier à oeufs artisanal, une vieille planche à biscuits et une lampe à huile. Au-dessus de la porte avant était perché un chapeau de feutre plat usé par les éléments. « Il y a une histoire derrière chaque chose », a déclaré le propriétaire avec fierté.

Du vent et des ailes

Lorsqu’il entrait dans une pièce, la chaleur de sa présence se faisait sentir. Le doux souffle du shalom était manifeste. L’effet apaisant que produisait mon oncle était palpable. Dieu a ramené le calme sur la terre après qu’il y a plu durant 40 jours et 40 nuits. Des mois se sont écoulés, et le mal et la violence qui autrefois consumaient la terre ont cessé d’être. Et « Dieu fit passer un vent sur la terre, et les eaux s’apaisèrent » (GE 8.1).

Le meilleur reste à venir

Pour notre famille, le mois de mars signifie plus que la fin de l’hiver, mais aussi l’arrivée du grand spectacle du basketball universitaire, « La folie de mars ». En tant que fans inconditionnels, nous regardons les tournois en encourageant nos équipes préférées avec enthousiasme. Si nous allumons la télé un peu d’avance, nous avons la chance d’écouter les commentateurs parler du match à venir et de voir parfois les joueurs faire des tirs au panier et des exercices d’échauffement avec leurs coéquipiers.

Plus fort

Lors de la cérémonie de remise des diplômes de notre école, je défilais avec le reste du corps professoral pour aller prendre place sur l’estrade, lorsque j’ai constaté avec amusement que l’on m’avait placée directement derrière l’harmonie. Seul un demi-mètre me séparait des trompettistes. Je me suis demandé comment mon ouïe réagirait aux premières mesures de « Pomp and Circumstance. » Plus tard, l’émerveillement m’a envahie lorsque nous avons tous entamé une hymne ensemble. Je ne pouvais toutefois pas m’entendre chanter, puisque seul le son majestueux des cuivres retentissait dans l’église.